Texts
Εὐστάθιε, γλυκερὸν μὲν ἔχεις τύπον ἀλλά σε κηρὸν
δέρκομαι, οὐδ᾽ ἔτι σοι κεῖνο τὸ λαρὸν ἔπος
ἕζεται ἐν στομάτεσσι: τεὴ δ᾽ εὐάνθεμος ἥβη,
αἰαῖ, μαψιδίη νῦν χθονός ἐστι κόνις.πέμπτου καὶ δεκάτου γὰρ ἐπιψαύσας ἐνιαυτοῦ
τετράκις ἓξ μούνους ἔδρακες ἠελίους:
οὐδὲ τεοῦ πάππου θρόνος ἤρκεσεν, οὐ γενετῆρος
ὄλβος. πᾶς δὲ τεὴν εἰκόνα δερκόμενος
τὴν ἄδικον Μοῖραν καταμέμφεται, οὕνεκα τοίην,ἆ μέγα νηλειής, ἔσβεσεν ἀγλαΐην.
— Paton edition
Eustathius, sweet of thy image, but I see thee in wax, and no longer doth that pleasant speech dwell in thy mouth. Alas, thy blooming youth is now futile dust of earth. Fort after reaching thy fifteenth year thou didst look only on twenty-four suns. Neither thy grandfather's high office helped thee, nor the riches of thy fathers. All who look on thy image blame unjust Fate, ah ! so merciless, for quenching the light of such beauty.
— Paton edition
Eustathios, la grâce, il est vrai, orne ton visage, mais en toi c'est de la cire que je vois et tu n'as plus cette délicieuse parole qui résidait sur tes lèvres ; oui, tu étais dans la fleur de l'âge ; hélas, maintenant ce n'est que la terre, de la vile poussière. Une fois tes quinze ans accomplis, tu n'as plus vu que vingt-quatre soleils. Ton aïeul et son trône ne t'ont point protégé, ni ton père avec son opulence. Tous en voyant ton image accusent le sort injuste d'avoir, oh ! l'impitoyable, éteint l'éclat d'une telle beauté.
— Waltz edition
Eustathios, la grâce, il est vrai, orne ton visage, mais en toi c'est de la cire que je vois et tu n'as plus cette délicieuse parole qui résidait sur tes lèvres ; oui, tu étais dans la fleur de l'âge ; hélas, maintenant ce n'est que la terre, de la vile poussière. Une fois tes quinze ans accomplis, tu n'as plus vu que vingt-quatre soleils. Ton aïeul et son trône ne t'ont point protégé, ni ton père avec son opulence. Tous en voyant ton image accusent le sort injuste d'avoir, oh ! l'impitoyable, éteint l'éclat d'une telle beauté.
— Waltz edition
Eustathius, sweet of thy image, but I see thee in wax, and no longer doth that pleasant speech dwell in thy mouth. Alas, thy blooming youth is now futile dust of earth. Fort after reaching thy fifteenth year thou didst look only on twenty-four suns. Neither thy grandfather's high office helped thee, nor the riches of thy fathers. All who look on thy image blame unjust Fate, ah ! so merciless, for quenching the light of such beauty.
— Paton edition
Εὐστάθιε, γλυκερὸν μὲν ἔχεις τύπον ἀλλά σε κηρὸν
δέρκομαι, οὐδ᾽ ἔτι σοι κεῖνο τὸ λαρὸν ἔπος
ἕζεται ἐν στομάτεσσι: τεὴ δ᾽ εὐάνθεμος ἥβη,
αἰαῖ, μαψιδίη νῦν χθονός ἐστι κόνις.πέμπτου καὶ δεκάτου γὰρ ἐπιψαύσας ἐνιαυτοῦ
τετράκις ἓξ μούνους ἔδρακες ἠελίους:
οὐδὲ τεοῦ πάππου θρόνος ἤρκεσεν, οὐ γενετῆρος
ὄλβος. πᾶς δὲ τεὴν εἰκόνα δερκόμενος
τὴν ἄδικον Μοῖραν καταμέμφεται, οὕνεκα τοίην,ἆ μέγα νηλειής, ἔσβεσεν ἀγλαΐην.
— Paton edition
Comments