Descriptions
La belle maltraitée. (M. Yourcenar)
τίς γυμνὴν οὕτω σε καὶ ἐξέβαλεν καὶ ἔδειρεν;
— Paton edition
τίς ψυχὴν λιθίνην εἶχε, καὶ οὐκ ἔβλεπε;
μοιχὸν ἴσως ηὕρηκεν ἀκαίρως κεῖνος ἐσελθών.
γινόμενον πᾶσαι τοῦτο ποοῦσι, τέκνον.
πλὴν ἀπὸ νῦν, ὅταν ᾖ τις ἔσω, κεῖνος δ᾽ ὅταν ἔξω,
τὸ πρόθυρον σφήνου, μὴ πάλι ταὐτὸ πάθῃς.
Τίς γυμνὴν οὕτω σε καὶ ἐξέβαλεν καὶ ἔδειρεν;
— Waltz edition
Τίς ψυχὴν λιθίνην εἶχε καὶ οὐκ ἔβλεπεν;
Μοιχὸν ἴσως ηὕρηκεν ἀκαίρως κεῖνος ἐσελθών.
γινόμενον; Πᾶσαι τοῦτο ποοῦσι, τέκνον.
Πλὴν ἀπὸ νῦν, ὅταν ᾖ τις ἔσω, κεῖνος δ᾽ ὅταν ἔξω,
τὸ πρόθυρον σφήνου, μὴ πάλι ταὐτὸ πάθῃς.
Who beat you and turned you out half-naked like this? Who had so stony a heart and no eyes to see ? Perhaps he arrived inopportunely and found you with a lover. That is a thing that happens; all women do it, my child. But henceforth when someone is in, and he is out, bolt the outer door, lest the same thing happen to you again.
— Paton edition
Qui t’a ainsi, toute nue, fouettée et jetée dehors ? Qui a eu cette âme de pierre ? Il n’avait donc pas d’yeux ? Il a sans doute trouvé, en entrant mal à propos, quelque trahison en train de s’accomplir ? Mais toutes font ainsi, mon enfant. Désormais, cependant, quand tu auras quelqu’un et que l’autre sera dehors, ferme la porte au verrou, pour qu’il ne t’arrive plus semblable mésaventure.
— Waltz edition
Quoi ? Tu sanglotes ? Tu trembles de froid ? Il t'a mise
— M. Yourcenar
À la porte, et à demi nue ? Il t'a surprise
Profitant de ton mieux de ses courtes absences ?
Son malheur est commun. Ma chère, il est sans yeux,
Sans cœur. Laisse passer son stupide courroux.
Mais la prochaine fois, tu feras beaucoup mieux,
Avant de te livrer aux tendres jouissances,
D'aller discrètement pousser tous les verrous.
Quem te expulsou e te maltratou nua dessa forma ? Que coração de pedra possui que não via?
— Luiz Capelo
Chegando em mau momento, ele talvez tenha encontrado um outro amante em ação? Todas fazem isso, menina.
Exceto que a partir de agora, quando um estiver dentro e o outro fora, fecha a porta! Não sofras a mesma coisa novamente.
Quem te expulsou e te maltratou nua dessa forma ? Que coração de pedra possui que não via?
— Luiz Capelo
Chegando em mau momento, ele talvez tenha encontrado um outro amante em ação? Todas fazem isso, menina.
Exceto que a partir de agora, quando um estiver dentro e o outro fora, fecha a porta! Não sofras a mesma coisa novamente.
Quoi ? Tu sanglotes ? Tu trembles de froid ? Il t'a mise
— M. Yourcenar
À la porte, et à demi nue ? Il t'a surprise
Profitant de ton mieux de ses courtes absences ?
Son malheur est commun. Ma chère, il est sans yeux,
Sans cœur. Laisse passer son stupide courroux.
Mais la prochaine fois, tu feras beaucoup mieux,
Avant de te livrer aux tendres jouissances,
D'aller discrètement pousser tous les verrous.
Qui t’a ainsi, toute nue, fouettée et jetée dehors ? Qui a eu cette âme de pierre ? Il n’avait donc pas d’yeux ? Il a sans doute trouvé, en entrant mal à propos, quelque trahison en train de s’accomplir ? Mais toutes font ainsi, mon enfant. Désormais, cependant, quand tu auras quelqu’un et que l’autre sera dehors, ferme la porte au verrou, pour qu’il ne t’arrive plus semblable mésaventure.
— Waltz edition
Who beat you and turned you out half-naked like this? Who had so stony a heart and no eyes to see ? Perhaps he arrived inopportunely and found you with a lover. That is a thing that happens; all women do it, my child. But henceforth when someone is in, and he is out, bolt the outer door, lest the same thing happen to you again.
— Paton edition
Τίς γυμνὴν οὕτω σε καὶ ἐξέβαλεν καὶ ἔδειρεν;
— Waltz edition
Τίς ψυχὴν λιθίνην εἶχε καὶ οὐκ ἔβλεπεν;
Μοιχὸν ἴσως ηὕρηκεν ἀκαίρως κεῖνος ἐσελθών.
γινόμενον; Πᾶσαι τοῦτο ποοῦσι, τέκνον.
Πλὴν ἀπὸ νῦν, ὅταν ᾖ τις ἔσω, κεῖνος δ᾽ ὅταν ἔξω,
τὸ πρόθυρον σφήνου, μὴ πάλι ταὐτὸ πάθῃς.
τίς γυμνὴν οὕτω σε καὶ ἐξέβαλεν καὶ ἔδειρεν;
— Paton edition
τίς ψυχὴν λιθίνην εἶχε, καὶ οὐκ ἔβλεπε;
μοιχὸν ἴσως ηὕρηκεν ἀκαίρως κεῖνος ἐσελθών.
γινόμενον πᾶσαι τοῦτο ποοῦσι, τέκνον.
πλὴν ἀπὸ νῦν, ὅταν ᾖ τις ἔσω, κεῖνος δ᾽ ὅταν ἔξω,
τὸ πρόθυρον σφήνου, μὴ πάλι ταὐτὸ πάθῃς.
Epigram 5.41: Association of Sylloge Rufiana (1394) by “LuizCapelo”
Epigram 5.41: First revision
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