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            "content": "# Altération du texte\n\n Du fait de son état d'altération avancé, l'épigramme a été considérée inintelligible par certains commentateurs. Sans proposer de traduction, contrairement à Paton, Waltz se lance dans un jeu d'interprétation sur les fragments les plus certains du texte : \n\"Tout ce qu'on peut voir dans les deux derniers vers, c'est que le coup de foudre (si foudre il y a) n'avait laissé subsister \"dans cette sépulture si pleurée\" que \"des ossements muets\", c'est à dire que toute inscription apprenant le nom du mort avait disparu. De plus, ce qui en restait encombrait la voie, donnant \"de la peine (πόνος) à ceux qui passent pas là\". Bien fin qui découvre non seulement un sens, mais même une construction possible à ce qui tient la place du premier distique. Le feu y étant qualifié d'\"artificieux\" (δαιδαλέοιο), on pourrait à la rigueur songer qu'au v. 4 πόνος doit céder la place à πόρος \"passage\". Il serait question d'un \"curieux effet de la foudre\" qui aurait coupé en deux un monument jusque là barrant la route.\" (P. Waltz, 1957)",
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