Descriptions
À la gloire d'Homère. (M. Yourcenar)
Ἀνδρομάχης ἔτι θρῆνον ἀκούομεν, εἰσέτι Τροίην
δερκόμεθ᾽ ἐκ βάθρων πᾶσαν ἐρειπομένην,
καὶ μόθον Αἰάντειον, ὑπὸ στεφάνῃ τε πόληος
ἔκδετον ἐξ ἵππων Ἕκτορα συρόμενον,Μαιονίδεω διὰ μοῦσαν, ὃν οὐ μία πατρὶς ἀοιδὸν
— Paton edition
κοσμεῖται, γαίης δ᾽ ἀμφοτέρης κλίματα.
We listen still to the lament of Andromache; still we see Troy laid in ruins from her foundations and the battle-toil of Ajax, and Hector bound to the chariot and dragged under the battlements of the town - all through the verse of Maeonides, the poet whom not one country honours as its own, but all the lands of two continents.
— Paton edition
我们仍然聆听安德洛玛奇的哀歌;我们仍然看到特洛伊从她所创造的一切在和阿贾斯的战斗中被夷为平地,赫克托尔被束缚在战车上并被拖到城镇的城垛下——贯穿梅奥尼德斯的诗句,这位诗人没有将任何一个国家视为自己的国家,而是将自己视为两大洲所有土地的子民。
— Edition Jie Han
Nous entendons encore les lamentations d'Andromaque, nos yeux voient encore Troie s'effondrer toute entière, et l'ardeur guerrière d'Ajax, et, sous les murs qui couronnent la ville, Hector attaché au char qui l'entraîne. C'est grâce à la muse du Méonien, chantre dont une partie ne se pare point seule, mais la terre en ses deux versants.
— Waltz edition
Andromaque, toujours nous entendons ta plainte,
— M. Yourcenar
Et les clameurs d'Ajax. Autour des murs d'enceinte,
Nous voyons à jamais traîner le triste Hector
Et les palais troyens, croulants, brûlent encor.
Ta voix résonne, Homère, et ne peut plus se taire,
Et ton pays n'est plus la Grèce, mais la terre.
Andromaque, toujours nous entendons ta plainte,
— M. Yourcenar
Et les clameurs d'Ajax. Autour des murs d'enceinte,
Nous voyons à jamais traîner le triste Hector
Et les palais troyens, croulants, brûlent encor.
Ta voix résonne, Homère, et ne peut plus se taire,
Et ton pays n'est plus la Grèce, mais la terre.
Nous entendons encore les lamentations d'Andromaque, nos yeux voient encore Troie s'effondrer toute entière, et l'ardeur guerrière d'Ajax, et, sous les murs qui couronnent la ville, Hector attaché au char qui l'entraîne. C'est grâce à la muse du Méonien, chantre dont une partie ne se pare point seule, mais la terre en ses deux versants.
— Waltz edition
我们仍然聆听安德洛玛奇的哀歌;我们仍然看到特洛伊从她所创造的一切在和阿贾斯的战斗中被夷为平地,赫克托尔被束缚在战车上并被拖到城镇的城垛下——贯穿梅奥尼德斯的诗句,这位诗人没有将任何一个国家视为自己的国家,而是将自己视为两大洲所有土地的子民。
— Edition Jie Han
We listen still to the lament of Andromache; still we see Troy laid in ruins from her foundations and the battle-toil of Ajax, and Hector bound to the chariot and dragged under the battlements of the town - all through the verse of Maeonides, the poet whom not one country honours as its own, but all the lands of two continents.
— Paton edition
Ἀνδρομάχης ἔτι θρῆνον ἀκούομεν, εἰσέτι Τροίην
δερκόμεθ᾽ ἐκ βάθρων πᾶσαν ἐρειπομένην,
καὶ μόθον Αἰάντειον, ὑπὸ στεφάνῃ τε πόληος
ἔκδετον ἐξ ἵππων Ἕκτορα συρόμενον,Μαιονίδεω διὰ μοῦσαν, ὃν οὐ μία πατρὶς ἀοιδὸν
— Paton edition
κοσμεῖται, γαίης δ᾽ ἀμφοτέρης κλίματα.
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